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Retrouvez tous les liens d’association et d’organismes français en référence au sujet du site.

  • 269 libérations animales 
  • Association végétarienne de France
  • APAD (Association à disposition des agriculteurs)
  • BASE (Association regroupant les passionnés et professionnels de l’agriculture conservatoire)
  • https://asso-base.fr/
  • GIEE (groupement d’intérêt économique et environnemental)
Organismes 
  • l’IOAS (l’Organisme d’Accréditation dans le domaine de l’Agriculture Biologique) (international)
  • IFOAM (l’International Fédération of Organic Agriculture Mouvement) (international)
  • WWOOF (World Wide Opportunities on Farms) (international)
  • Agence Bio (France)
  • UFC-Que choisir (France)
  • FNAB (France)
  • ITAB (France) 
  • ACTA (France)
  • FAO  
  • ECAF
  • IAD
  • ÉCOPHYTO JEVI 
  • agreenium (institut agronomique, vétérinaire et forestier de France
  • INRA 
  • POLLENIZ 
  • SupAGRO 
  • AgroParisTech 
  • ULCO 
  • GEVES 
  • Observatoire ANPEA de la fertilisation organique et minérale
  • UNIFA 
  • ADEME (agence publique de défense de l’environnement et de la maitrise de l’énergie)
  • ONU
  • Ministére de l’agriculture 
  • https://agriculture.gouv.fr/stocker-12-milliard-de-tonnes-de-carbone-dans-les-sols-un-engagement-fort
  • Agence française pour le développement et la promotion de l’agriculture biologique 
  • COMIFER (comité français d’études sur le développement de la fertilisation raisonnée)
  • https://comifer.asso.fr/fr/
  • SNHF (société National d’horticulture de France)
  • https://www.snhf.org/
  • AGRO CAMPUS Ouest 
  • Agroforesterie France 
  • https://www.agroforesterie.fr/les-12-principes-de-lagroforesterie/
  • Ministère de la transition écologique et solidaire. Ministère de l’Agriculture et de l’alimentation.
  • Agence française de la biodiversité.
  • D’après la IFOAM (International of organique agriculture mouvements) l’agriculture biologique permettrait de maintenir la santé des personnes, de l’environnement et des sols. Grace au respect des cycles et à la biodiversité, qui se sont transmis aux fils des générations, à la science et ces innovations.
  • Le label éco-école 
  • https://www.eco-ecole.org/le-programme/obtenir-le-label/#:~:text=Depuis%20la%20rentr%C3%A9e%20scolaire%202021,men%C3%A9s%20par%20les%20%C3%A9tablissements%20scolaires.
  • L’appellation « biologique » et protéger légalement par des certifications 
  • Le labelle « AB » agriculture biologique : est un logo qui certifie que les produit respectes les réglementations françaises de l’agriculture biologique. 
  • Label bio de l’Union Européenne (Europe)
  • Le labelle « logofeuille » : est un logo qui certifie que les produit respectes les réglementations européennes de l’agriculture biologique.
  • Bioterra (Europe)
  • Biofarm (Europe)
  • Progana (Europe)
  • FIBL (Europe)
  • Écocert (Europe)
  • Bio Cohérence (Europe) 
  • Bio Garantie (Belgique)
  • Bio Suisse (Suisse)
  • Bougeron (Suisse)
  • BIO Hellas (Europe)
  • Demeter (Europe)
  • Nature&Progrès (Europe)
  • OF&G (Engleterre)
  • Öko-Test (Europe) 
  • Farm Verified Organic (Amérique) 
  • NOP (Amérique)
  • USDA organique (Amérique) 
  • Australian Certified organic (Australie)
  • Biologique Canada (Canada)
  • China Green food development Center (Chine)
  • Japanese Agricultural Standards (Japon) 
  • Nature et progrès (France, Belgique)
  • BioGro (Nouvelle-Zélande)
  • Label haute qualité environnementale (HQE)
  • Label foret géré durablement (FSC) Le bois FSC devra être utilisé au maximum, mais sans abus. 
  • Réglementation européenne des engrais bio 
  • https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX%3A32008R0889#d1e32-34-1
  • Loi Labbé du 1er janvier 2019 interdit l’utilisation de produit phytosanitaire chimique de synthèse dans les jardins d’amateur
  • Règlement (CE) n°834/2007 du conseil de l’union européenne 
  • La méthode de l’agriculture biologique doit s’appuyer sur une grande biodiversité, des normes élevées sur le bien-être animale et des pratiques qui préserve les ressources primaires et de l’environnant. 
  • Le droit des plantes : Les plantes comme tout être vivant sur notre planète doivent être respectées et protégée. Cette vertu provient du biocentrisme qui donne de la dignité à tout être vivant. 
  • Cette conscience des droits des plantes est liée aux valeurs morales humaines que l’on se donne pour protéger les végétaux. Cette conscience permettrait de créer un idéal entre productivité et respect de l’environnement. 
  • Dans certains pays, des lois sont consacrées à la protection des végétaux et les personnes qui les endommageraient pourraient recevoir une amende (dommages-intérêts punitifs).
  • L’aube du temps qui vient Roger Mondoloni  
  • « Changer le monde, commence par se changer soi-même » 

Avantage / inconvénient

Avantage

Avantages de connaître la nature, l’environnement, la biodiversité, les différents cycles et les outils de production alimentaire :

  • Amélioration de la qualité et de la durabilité des cultures de produit alimentaires
  • Optimisation des méthodes de production pour une utilisation plus efficace des ressources naturelles
  • Réduction des impacts négatifs sur l’environnement tels que la pollution, la déforestation, la perte de la biodiversité et l’utilisation excessive de l’eau.
  • Mise en place de pratiques durables pour préserver les écosystèmes pour les générations futures
  • Augmentation de la résilience des systèmes agricoles face aux changements climatiques
  • Possibilité d’adopter des pratiques culturales et d’élevage plus respectueuses. Surtout pour le bien-être animal
  • Amélioration de la qualité de vie pour les agriculteurs et les communautés locales
  • Stimulation de l’économie locale en favorisant les circuits courts de distribution des produits alimentaires

Inconvénient

Inconvénients de connaître la nature, l’environnement, la biodiversité, les différents cycles et les outils de production alimentaire :

  • Coûts supplémentaires pour mettre en place les pratiques durables et respectueuses de l’environnement
  • Nécessité de former les agriculteurs à de nouvelles techniques de production
  • Possibilité de difficultés pour concilier les pratiques durables avec les besoins en termes de production alimentaire de la population
  • Nécessité de mettre en place des politiques et des programmes pour encourager la transition vers des pratiques durables

En conclusion, la connaissance de la nature, de l’environnement, de la biodiversité, des différents cycles et des outils de production alimentaire sont cruciale pour produire efficacement et intelligemment des denrées alimentaires aujourd’hui et pour demain. Les avantages en termes de durabilité, de qualité des produits et de respect de l’environnement sont importants. Mais, il faut également prendre en compte les inconvénients potentiels pour assurer la réussite de la transition vers des pratiques durables dans le secteur agricole.

Les bienfaits

La compréhension de la nature et de son environnement est bénéfique pour l’humain. Car elle permet d’adopter des pratiques agricoles durables qui évitent l’utilisation de pesticides, d’OGM, d’éléments de synthèse et de produits pharmaceutiques tels que les antibiotiques.

Ces pratiques permettent de produire des aliments de meilleure qualité, avec une plus grande quantité de calories par rapport à leur masse, notamment en protéines et en acides gras oméga 3 et 6. De plus, ces pratiques agricoles durables nécessitent moins de travail de la terre, ce qui permet de redonner vie aux sols et de préserver la biodiversité.

Qualité nutritionnelle :

Retrouver les tableaux des qualités nutritionnelles des différents aliments

Vu que les plantes vont pousser sur un terrain plus meuble, plus riche en nutriments, minéraux, champignon, oligoélément, micro-organisme, leur croissance racinaire et leurs floraisons se feras plus conséquente. Ce qui permettra de récupérer et d’envoyer plus de nutriment aux fruits.

Cuisine

Les pratiques du végétarisme proviennent de conviction éthique, la première serais le respect des être vivant (maltraitante, souffrance, mauvaise hygiène, abattage intensif, …). Le suivant serait le respect de notre environnement et de nos ressources (engrais, énergie, terre déforestée, pollution et sur consommation de l’eau,…). Toutes ces conditions d’élevage provoque de la pollution en quantité industrielle (effet de serre, marre d’algue, CO2, méthane, produits phytosanitaires, etc). 

Le véganisme intégral va prendre en conte la provenance des produits, mais aussi va avoir un cadre éthique dans la consommation des produits du quotidien et même dans les différentes pratiques (zoo, animaux de compagnie,…). 

Le végétarisme : Ou végétarien ou Ovo-lacto-végétarisme est une alimentions ou la chaire animale est prescrite. Dans cette pratique le lait, le miel, les œufs, les champignons, levure sont autorisés.

Le végétarisme indien : Est une alimentation indienne (végétarisme hindou, jaïn, sikh) issus de l’ahimsa. La chaire animale et les œufs sont prescrits, mais les produit laitier, les champignons, levure sont autorisés. 

Le pesco-végétarisme : Est une alimentions ou la chaire animale est prescrite. Dans cette pratique, le lait, le miel, œuf et poisson, les champignons, levure sont autorisés.

Lacto-végétarisme : Est une alimentation ou la chaire animale et les œufs sont prescrits. Dans cette pratique, le lait, miel, les champignons, levure sont autorisées.

Ovo-végétarisme :  Est une alimentation ou la chaire animale et le lait sont prescrits. Dans cette pratique, les œufs, le miel, les champignons, levure sont autorisés.

Végétalisme : ou véganisme : ou crudi-végétalisme est une alimentation ou la chaire animale, le lait, les œufs, le miel sont prescrits. Dans cette pratique, les champignons, levure sont autorisés.

Le végétalienne : ou Crudi-végétalisme ou fruitarisme est une alimentions ou la chaire animale et tout produit approchant sont prescrits. 

Recettes

(Afficher les tutos découpe)

Qualité gustative :

De mème que sur le point nutritionnel. Avec plus de nutriment d’origine naturel, la couleur et le gout des fruits s’amplifie.

Point histoire

Des archéologues ont réussi à découvrir les premières traces de carbone, il y a près de 3,5 milliards d’années. D’autres sont parvenus à découvrir la présence de ravageur (champignon) sur des plantes hôtes, qui remonteraient après de 300 millions d’années.

 La naissance des différentes civilisations ont toutes débuter non loin des grands fleuves (le tigre, le nil, l’euphrat, l’indus), ce qu’il aura permis de leur apporter de grandes quantités d’eau, de nourriture végétale, mais aussi animales. La première civilisation de l’histoire, d’après les archéologues et leurs connaissances actuels, serait né il y a 5 000 ans avant JC en Mésopotamie, à la croisée des fleuves du Tigre et de l’Euphrate. Cette civilisation brillante était surnommée les Sumériens.

Avec l’apparition de ses différentes civilisations, la nature va se voir transformer pour laisser place à l’usage pratique pour l’homme comme les habitations, lieux de culte et de pouvoir, l’agriculture,… . Les premières traces de cette agriculture remonteraient à plus de 10 000 ans.

À l’époque des civilisations égyptienne, l’agriculture fleurissez après la décrue du Nil, qu’ils laissaient sur les champs une boue fertile composé de déjections d’animaux et d’autres éléments en fin de décomposition. Le reste du temps, pendant que le Nil était en crue, les agriculteurs ça ferait à construire les pyramides et les différents temples de cette civilisation. 

Le premier vestige de coupe d’arbre en trognes, retrouvé et daté au carbone 14, et daterait d’il y a 3 400 ans avant notre ère.

Un ouvrage Babylonien « l’odyssée » fait référence à la connaissance des apports à ajouter aux plantes qui ensuite a été améliorer par les romains. Puis resta le même jusqu’à la Renaissance et qui n’a cessé de faire de grand avancer sur les apports fondamentaux des plantes.

 Le peuple maya aurait potentiellement disparu à cause de la déforestation et de l’agriculture basée principalement sur le maïs (vraiment demandeuse en eau). Qui aurait fait baisser le niveau de pluviométrie et appauvrie les sols (en 1000 ans) ce qui a engendré un manque d’eau non négligeable pour une civilisation aussi peuplé. Les famines et maladies sont sûrement arrivées par la suite et pour pallier à ses problèmes, ses cités ont dû essayer d’aller récupérer des vivres dans des régions plus fertile et crée potentiellement des futurs conflits. 

https://www.youtube.com/watch?v=P_SFdU9-370

 A contrario, ils nous laissent un héritage sur la compréhension de la terre et sa fertilisation. Ses anciens peuples fertilisaient leur sol avec toutes sortes de déchets du quotidien et la création de bio charbon pour créer ce que l’on appelle « La terra preta ». 

Création de bio-charbon 

https://dycle.org/en/downloads

 Ils nous ont aussi laissé un héritage sur les systèmes de culture avec les waru waru, camellones ou les Chimpas. Et sur les modes de culture avec le compagnonnage dit « des trois sœurs » Maïs, haricot et courge.

Certains courant pour la protection des animaux font leur apparition avec des théories éthiques pour éviter de les tuer pour ensuite les consommer. Pythagore a fait partie de ces personnes qui ont suivi ce courant pour être végétarien et d’autre l’ont suivie comme Léonard de Vinci, Gandhi, Albert Einstein, … 

La nature a aussi inspiré l’homme dans ses créations artistiques. (Voir dossier peinture naturelle)

À la fin des guerres napoléonienne, après la bataille de Waterloo, les os des soldats tombés sur le champ de bataille était récupéré, broyé et réutiliser comme un engrais dans l’agriculture.

Le phénomène de symbiose a été découvert et compris en 1885 par l’Allemand Frank. Pour arriver à remonter à ses origines à plus de 400 millions d’années.

 Les Américains, on tuait des milliers de bisons, pour réduire la nourriture des Indiens et les pousser à la famine. Ensuite les os, on était utilisés comme engrais. (voir histoire de Buffalo Bill)

Par la suite de cette dégradation des sols, celui-ci ont perdu leurs matières organiques qui ont été remplacés par du sable. Et lorsque l’air se charge électriquement, cela faire remonter les fines particules de sable ce qui crée des murs de sable (dust bowl) 

Lors de la première guerre mondiale, on voit apparaître de nouveaux engrais (chimique) « qui sont plus productifs » et utiliser pour créer une agriculture intensive. 

Le terme d’agriculture biologique quant à lui a fait ses apparitions en 1920 après l’arrivée des nouveaux engrais chimiques mis sur le marché. En 1937 arrive l’agriculture bio dynamique lancée par Ehrenfrid Pfeiffer qui se base sur le recyclage des produits de seconde vie à injecter dans l’agriculture pour créer des engrais bio tout en faisant marcher une économie et en protégeant l’environnement.

Dans les années 50, de plus en plus de doutes se font envers les différents produits ajouter à nos aliments pour qu’ils aient une meilleure croissance. Les médecins et les consommateurs s’inquiètent des différents symptômes liés à notre alimentation actuelle.

Par la suite, de nombreuses associations vont se créer comme Nature et Progrès créée en 1970. Puis d’autres associations se crée en Europe et se regrouper pour créer FNAB qui sera suivie par l’association mondiale l’IFOAM (International of organic agriculture movements) crée en 1972.

En 2011, 0,9 % des terres agricoles de 162 pays sont consacrées à l’agriculture biologique 

EN 2017, 1,4 % des terres agricoles de 181 pays sont consacrées à l’agriculture biologique 

Aujourd’hui la population prend conscience des différents changements qui sont en train de s’opérer à cause de nos erreurs passée (urbanisation, destruction des sols, agriculture demandeuses, déforestation, pillage des ressources, destruction des cycles ….). Et on va devoir essayer de faire retrouver la place de la nature dans nos villes et nos industries pour diminuer l’impact du climat, mais aussi pour rendre la vie des habitants plus paisible. 

Actuellement, on a répertorié plus de 400 000 espèces de végétaux. Mais on déplore plus de 40 % de ces espèces menacées d’instruction.

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