Les différents pathogènes (virus, microbes et ravageur)
La pathologie végétale est une science qui étudie les maladies des végétaux. Il peut y avoir différents types de pathologies qui dépendent de l’agent infectieux, comme les bactéries, les virus, les champignons, les ravageurs, plante parasite, etc. Certaines pathologies peuvent être causées par des problèmes environnementaux, la pollution, la destruction de la biodiversité, stresse, blessures, … . Ci-dessous, vous retrouverez la pharmacie de l’arboriculteur.
Les ravageurs
Le mot nuisible ou indésirable et différent pour chaque personne, selon le rendement économique demandé. Il faudra dans l’agriculture biologique et les jardins de particulier accepter des pertes pour nourrir pour la faune de 10 à 20 % et faire que les auxiliaires vont aussi pouvoir se nourrir.
- Les organismes nuisibles : Ce terme est indiqué pour tous les organismes vivant et nuisible (virus, bactérie et autres organismes vivant), qui s’attaque directement aux végétaux et aliment ou nuisible pour l’homme, son environnement ou son bétail.
- Les ravageur ou déprédateur : Ce sont surtout les animaux indésirables dans les cultures qui se nourrisse des végétaux.
- Les prédateurs : Ce sont des animaux qui sont se nourrir directement ou nourris leurs larves avec des organismes nuisibles.
- Les parasites : Ce sont des animaux ou végétaux qui vont se développer à l’intérieur d’un hôte sans lui donner la mort, mais en lui portant des dommages.
- Les parasitoïdes : Ce sont des animaux ou végétaux qui vont pondre et se développer à l’intérieur d’un hôte jusqu’à lui donner la mort.
- Endoparasitoïde : Se développe dans l’hôte qu’elle a parasité.
- Ectoparasitoïde : Se développe sur l’hôte qu’elle a parasité.
- Auxiliaires : C’est l’ensemble des animaux prédateur et parasitoïde qui vont se nourrir des différents organismes nuisibles celons leurs modes de vie et leurs alimentations.
- Les indifférents : Ne crée pas de dommage sur les végétaux cultivé, ni sur les animaux.
Les différents dommages provoqués par les ravageurs
- Les dommages directs : Ce sont des dommages qui peuvent se trouver sur la totalité du végétal et qui sont dus directement à l’action du ravageur. Souvent par son alimentation.
- Les dommages indirects : Ce sont des dommages causés la plus par du temps par des virus ou bactérie amené par les insectes. Ces dommages peuvent être confondus avec des carences.
- Dégâts quantitatifs : Baisse des rendements et de la production des végétaux.
- Dégâts qualitatifs : Baisse de qualité (nutritive, gustative, visuel,) ou la rendre impropre a la consommation des végétaux.
Les ravageurs peuvent aussi affecter les végétaux non alimentaires, comme les bois de chauffe, pour l’artisanat… et le rendre impropre à sa consommation.
Les ravageurs devront être canalisés par une lutte préventive au moment où la qualité et la quantité vont être affecté (le seuil de nuisibilité biologique). Ci ces différents dommages continus à se développer et affecter la quantité économique du système, il faudra s’adopter en passant à une lutte curative pour un effet plus visible (seuil de nuisibilité économique). Ces seuils varient selon le climat, les variétés et son avancement de croissance.
Les ravageurs comme les prédateurs vont avoir un rythme de croissance de leur population qui vont augmenter et diminuer dans le temps. Ces variations de population vont être dues aux combats qu’il se livre aux fils des saisons.
- La lutte chimique : Elle va être adoptée quant le seuil d’intervention et à ça limite. C’est-à-dire que les nuisibles vont impacter l’état économique du système.
- La protection biologique : Elle va être employée dès les premières apparitions de ravageur et devrait être équilibrée pour trouver une dynamique avec les populations de nuisible.
Il existe de nombreux animaux ravageurs de petit taille, comme les nématodes ou les arthropodes (acarien et insectes), mais il en existe de plus gros comme les limaces, souris, oiseau ou encore des chèvres. Ils se sont adapté depuis des milliers d’années pour se spécialiser dans l’alimentation d’une ou plusieurs variétés de végétaux. Il commence aussi à s’adapter aux nouvelles variétés censées les repousser, mais aussi aux différents produits phytosanitaires.
Ils vont surtout être présents aux niveaux des intersaisons et en été (automne, printemps et été) à condition qu’il y ait de bonnes conditions climatiques avec un cadre optimal.
Pour un bon diagnostic, il va falloir connaitre leurs régimes alimentaires, leurs saisons de prolifération et les symptômes sur les différentes parties de la plante.
Comment lutter
La lutte contre les différentes maladies et ravageurs des cultures est importante pour préserver la qualité et la quantité des récoltes. Cela peut être accompli de différentes manières.
Tout d’abord, il est important de prévenir la propagation de ces maladies et ravageurs en aménageant les cultures et l’environnement de manière appropriée. Cela peut inclure l’utilisation de pratiques culturales telles que la rotation des cultures, le désherbage, l’irrigation appropriée et la bonne gestion du sol pour minimiser les conditions propices à la croissance des maladies et des ravageurs.
En cas de nécessité, il est possible d’utiliser des moyens chimiques pour contrôler les maladies et les ravageurs. Cependant, ces méthodes peuvent avoir des effets négatifs sur l’environnement et la santé humaine, il est donc important d’être conscient des risques potentiels et de ne les utiliser qu’en dernier recours.
Enfin, la lutte biologique peut également être utilisée pour contrôler les maladies et les ravageurs en utilisant des auxiliaires naturels. Tels que des oiseaux, reptile, mammifères, insectes, plantes, champignons, nématode et des bactéries ou des produits naturels tels que les extraits de plantes, les huiles essentiels. Cette méthode est considérée comme étant plus respectueuse de l’environnement et de la santé humaine que les méthodes chimiques. Elle doit être utilisée en combinants plusieurs méthodes pour une lutte intégrée contre les maladies et les ravageurs. Pour prévenir au lieu de guérir, faites une recherche sur les différentes maladies les plus fréquentes sur votre territoire, utiliser les méthodes biologiques pour que ces maladies ne se déclenchent.





